Douleur et émotion ! La maladie "le mal à dit"
Dans quelle partie de mon corps une maladie émotionnelle risque t'elle de me blésser ?
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LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.
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LA COLÈRE retenue ou LA RANCUNE : une crise de foie.
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LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE peut provoquer des infections urinaires à répétition.
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QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.
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QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSÉ DIRE, QU’ON A RAVALÉ , une angine, des maux de gorge.
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UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.
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PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.
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INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.
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CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.
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TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.
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SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.
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PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.
On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.
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Difficultés d’ajustement à une situation.
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Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.
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Colère refoulée.
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Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage.
Se battre. Esprit de conquête.
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Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.
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Sentiment d’injustice. Colère, rancune.
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Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.
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Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.
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Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.
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Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.
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Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.
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Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse.
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Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.
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Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.
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Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.
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Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.
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Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.
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Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.
Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.
Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.
Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.
Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.
Refouler ses émotions.
Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.
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Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.
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Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.
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Devoir s’incliner pour avoir la paix.
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Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,
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Entêtement, humiliation.
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Culpabilité d’avoir raison.
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Colère d’être trop influençable.
Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication.
Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.
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anxiété, peur de l’avenir,
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difficultés à s’exprimer.
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Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.
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Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.
Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.
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Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.
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Honte des transformations corporelles.
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Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.
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Besoin de se sentir parfait pour être aimé.
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Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.
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Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.
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Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.
Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de FAIRE et de RECEVOIR, ainsi que l’autorité, le pouvoir.
Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.
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Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.
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Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.
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Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à leur montrer de l’affection.
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Je m’empêche de faire des choses pour moi-même, parce que je me souviens des jugements négatifs et des interdictions durant mon enfance, ce qui m’avait blessé.
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Je ne me permets pas de prendre ou je regrette d’avoir pris quelque chose, ou je pense que j’ai obtenu quelque chose que je ne méritais pas.
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Ou quelque chose me revient de droit , que je n’ai pas pris, je ressens de la colère.
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Se rapporte au fait d’avoir été jugé par ses parents.
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Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple…).
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Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.
Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas…
On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.
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Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.
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Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.
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On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé.
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Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.
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Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.
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Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.
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On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).
Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).
L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de FAIRE, de réaliser ses désirs.
On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.
On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.
Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.
Si vous souffrez, ou si vous avez une maladie, chronique ou pas d’ailleurs, essayez de retracer les événements qui se sont déroulés dans votre vie la toute 1ère fois où la douleur est apparue, ou lorsque les symptômes de la maladie ont fait leur apparition, bien avant que cela ne devienne une maladie.
Notez tout, même ce qui vous semble négligeable.
Ou alors, vous pouvez aussi partir de ce que vous ressentez maintenant, et chercher à voir quand vous avez ressenti cette émotion la dernière fois, plus les fois d’avant jusqu’à la 1ère fois.
Et ensuite tapotez sur les événements déclencheurs, ou faites-vous accompagnerdans ce voyage vers le mieux-être.
Croyez moi ! il mérite d’être fait !
(Sources : livres de Lise Bourbeau, Jacques Martel, Claudia Rainville et Philippe Dransart et article de Celine Zen en soi Alvarez diffusé sur FB en 2012. CORPSETCOEUR